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le blog de la LMDE Bretagne / Brest
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18 mars 2007

L'Accès aux psychothérapies : jeudi 22 Mars à St-Brieuc

L’ECOLE PSYCHANALYTIQUE DE BRETAGNE

Avec le Concours de la

MUTUALITE FRANCAISE COTES D'ARMOR

Table Ronde sur

« L’ACCES AUX PSYCHOTHERAPIES »

Participants :

Rozenn LE DUAULT, Psychanalyste

Josiane HEJDUK, Psychologue

Jean – Luc De SAINT JUST, Psychanalyste

Yannick BARBANÇON, Président Mutualité Française 22, en charge du département Santé Publique de la Mutualité Française Bretagne

Dans la suite de la publication en 2003 des travaux de recherche coordonnés par Y. BARBANÇON sur les causes de la sursuicidité en Bretagne, de leurs préconisations, et du programme régional qui en a découlé, les participants à la table ronde aborderont la question de l’accès aux psychothérapies.

Jeudi 22 Mars 2007 de 18h30 à 20h30

Mutualité Française des Côtes d’Armor

Salle A. LAITHIER

7 rue des Champs de Pies

22000 SAINT BRIEUC

(face à Ohé Prométhée et au Centre Funéraire)

Entrée Libre

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Commentaires
G
Bonjour,<br /> vous êtes étudiant ou praticien en psychologie ou vous avez étudié la psychanalyse? Dans quel but posez-vous cette question? Parce que les références renvoient à des notions clefs mais en mêmes temps très difficiles à définir en deux lignes, c'est pourquoi la personne vous répond je pense en vous renvoyant vers des lectures. <br /> <br /> La métaphore du Nom du Père, la béance (du symbolique), le manque, le signifiant/signifié, la perversion, sont des concepts de psychanalyse que je n'essaierai pas de définir parce que d'une part je ne les maîtrise pas, et d'autre part, qu'il serait inutile et inopportun de le faire. <br /> <br /> La psychanalyse n'est pas à aborder via ces voies selon moi, elle s'enseigne et se pratique.
G
Ayant demandé sur le site lacanien<br /> " DEMANDE DE TRADUCTION :<br /> Sans pouvoir déplier pleinement mon propos dans ce texte, il m'apparaît qu'effectivement la normalité à laquelle nous sommes aux prises dans nos praxis, ce nouveau discours politique, celui d'un "maître pervers" qui invite à "jouir à tout prix", témoigne du passage d'une référence normale à l'opération de la métaphore, de la fiction visant à border la béance, d'histoires pour consentir à faire avec le manque, à une autre référence normale, celle de l'opération métonymique, d'une virtualité visant, dans l'après-coup de la coupure signifiante, à suturer cette coupure par de l'objet. Car cette coupure opère bel et bien. Si tel n'était pas le cas, nous serions aux prises avec une psychose ordinaire et non une perversion. <br /> Jean-Luc de SAINT-JUST "<br /> <br /> Voici la réponse :<br /> Bonjour,<br /> <br /> Le secrétariat de l'ALI m'a transmis votre question.<br /> <br /> Votre demande de traduction me semble d'autant plus légitime que c'est bien la question du passage d'une langue à une autre dont je tentais de rendre compte dans cet article, en fonction de ce que j'en saisissais, mais aussi de ce qui m'en échappait à ce moment là. <br /> Ce n'est d'ailleurs peut être pas étranger avec le fait que le discours contemporain soit aujourd'hui référé à un objet positivité (de consommation ou de satisfaction). Cela a le plus souvent un effet d'incompréhension de la parole de l'autre, de perte de sens comme le disent le plus souvent les professionnels soumis au discours des procédures, à un impératif de la transparence. <br /> Cela dit, ne doutant pas que ces questions vous intéressent, je pense que vous trouverez de nombreuses de nombreuses illustrations et commentaires de cette question dans l'ouvrage où a été publié cet article "Que serait un travail social qui ne serait ni théologique, ni politique ?", mais également dans le dernier ouvrage de notre collègue Jean-Pierre Le Brun "La perversion ordinaire".<br /> <br /> En espérant que ce point de butée soit l'occasion pour vous d'une ouverture à un questionnement,<br /> <br /> En vous remerciant pour votre question,<br /> <br /> Bien cordialement,<br /> <br /> Jean-Luc de Saint-Just<br /> <br /> Toujours rien compris !!
G
Je partage ton avis sur les psychanalystes qui ne sont QUE psychanalystes, je vois qu'un psychologue est présent à la table-ronde, donc pour moi ça va. Après, je me dis pourquoi pas, il s'agit d'une bonne intention de débat.
G
Il y a quelque chose d'inquiétant de faire appel à des auto-proclamés psychanalystes se réclamant du charabia lacanien.
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